Un long discours ?

Après vous avoir assommé avec mon article précédent sur le stockage interne de Neo4j et sa scalabilité, je vais aujourd’hui me contenter d’assez peu. En effet, plutôt que de consacrer un effort important à expliquer des bonnes pratiques autour de la mise en oeuvre de Neo4j dans des projets Java, pourquoi ne pas créer l’archetype Maven qui fait le boulot ?

Archetype…​ Maven ?

Alors oui, je sais, certains d’entre vous ne peuvent pas voir Maven en couleurs. 

Je sais qu’il existe quelques archetypes bien particuliers autour de Neo4j pour d’autres outils de build tels que celui de Stefan Armbruster pour Gradle. Néanmoins, je n’ai pas croisé d’archetypes équivalents à celui que je vais vous présenter.

Si vous pensez en avoir trouvé un, n’hésitez pas à me contacter que je le liste ici.

Physiologie

Penchons-nous maintenant sur l’archetype créé pour l’occasion.

Il génère des projets embarquant :

  • neo4j

  • neo4j-kernel (classifier test-jar) pour les tests d’intégration

  • junit

  • assertj-core

assertj-neo4j n’est pas encore assez mature, je vais tâcher de le faire évoluer avant de le proposer via l’archetype.

Contenu

Si vous suivez les instructions, vous vous retrouverez avec un projet tout simple : * qui insère des données avec Cypher :

Conclusion

Un autre archetype Maven devrait suivre pour l’interfaçage REST de Neo4j.  L’archetype décrit ici sera bientôt releasé sur Maven Central. En attendant, vous pouvez déjà l’utiliser et démarrer avec Neo4j sur des bases saines !